On va manger des Chips !

Ernest Flochu n'est pas économe de son temps. Sitôt son père chu, mort, et enterré, le voilà qui se livre à une proclamation solennelle, afin de glaner les derniers brouzoufs que feu son père pourrait encore lui rapporter.

Il le dit lui-meme : il en a gros sur la patate. C'est la raison pour laquelle nous avons suivi son conseil et nous avons bien fait. Voici deux exemplaires de nos plus belles pommes de terre "customisées", criantes de vérité.

Non ?
Jugez-en par vous même, et dites-nous quelles sont les personnes croquées sur les clichés ci-dessus.
Victoire à celui ou celle qui nous donnera de promptes réponses... exactes.

WoncerB

Nous en saurons plus, plus tard...

The Dazzling Conversion

Amplepuis, chez Dorian, apres repas pris bien tard.

Wide Pit Session

C'est une maison confortable et chaleureuse où l'on n'y vient pas à pied. Ce soir-là, un concert
intime de deux compères aux chansons entraînantes.
Ne cherchez point : De Papier Mâché, nul publication virtuelle (encore ?...)

On attend, en écoutant un disque copié à la va-vite.

Le portrait de Dorian gris

Mudpatz ?

La place des Terreaux comble. D'abord par son usage : elle a servi de talus au blocage du Rhône, qui naguere passait par là pour rejoindre sa Saône un peu plus tôt.
Ensuite, par son bâti, tout monumental parce qu'assis sur de la bonne terre bien tassée.
À la voir maintenant, on sourit toujours de la fontaine allégorique de Bartholdi. On dit que c'est la Saône, ou le Rhône. C'est selon, et ça dépend à qui.
L'histoire nous chuchote que la fontaine représentait à l'origine la Garonne et ses quatre affluents se jetant dans l'océan : une femme menant un Quadrige.
Mais à la suite de l'Exposition Universelle de 1889, le monument, devenu trop cher pour Bordeaux, fut racheté en 1890 par le maire de Lyon, Antoine Gailleton.

Bref, on a les fontaines que l'on mérite, et tant pis pour l'hydrolyrisme.