samedi 22 septembre 2007
vendredi 21 septembre 2007
Semis
Drôle d'espace, sans zones, sans repères. On y roule dans une direction puis une autre. On se lasse aussi, parce que de cet imbriglio ne surgissent point de surprises. Un amas dilué qu'on voudrait bien quitter.
Un peu de franchise quoi ! Qu'on se sente campagnard !
Un peu de franchise quoi ! Qu'on se sente campagnard !
samedi 15 septembre 2007
De la proxemie a grande vitesse
Phrase peu claire. Mon propos non plus, rassurez-vous.
Enfin.
Balade à vélo, aujourd'hui, de la maison, sise non loin de la rivière Ibaraki, vers les montagnes alentour. On s'éloigne du centre de cette petite ville banlieusarde, en suivant les berges qui, de loin en loin, serpentent dans les rizières. Etrange de voir ces champs de verdure s'étendre entre les usines et les maisons. (J'y reviendrai.)
Et puis, sans crier gare, voici l'autoroute. Et voila, donc, que je m'interroge.
C'est que, dans le champs proxémique, la voiture fait figure d'espace clos, exclusif. Ou plutôt, si inclusif qu'il supprime toute considération sur l'environnement immédiatement extérieur à lui. De là, peut-être, le comportement bizarre de l'automobiliste, prêt à commenter ou vitupérer sur ce qui lui est directement proche, et pourtant si loin, puisque d'intéraction il n'y a pas. Ou si peu : visuelle, gestuelle. (Interne, en somme, à l'habitacle.)

Et là, l'autoroute japonaise marque le pas. Déjà qu'une voiture n'invite pas à saisir le monde extérieur, mais ici, le monde est réduit aux murs qui l'isolent. Point de paysage à observer, juste un couloir de bitume à suivre. Réduction proxémique encore. On regarde devant soi. On se tait. On peut, à la rigueur, imaginer s'envoler ailleurs. Mais il vaut mieux connaître la destination.
Enfin.
Balade à vélo, aujourd'hui, de la maison, sise non loin de la rivière Ibaraki, vers les montagnes alentour. On s'éloigne du centre de cette petite ville banlieusarde, en suivant les berges qui, de loin en loin, serpentent dans les rizières. Etrange de voir ces champs de verdure s'étendre entre les usines et les maisons. (J'y reviendrai.)
Et puis, sans crier gare, voici l'autoroute. Et voila, donc, que je m'interroge.
C'est que, dans le champs proxémique, la voiture fait figure d'espace clos, exclusif. Ou plutôt, si inclusif qu'il supprime toute considération sur l'environnement immédiatement extérieur à lui. De là, peut-être, le comportement bizarre de l'automobiliste, prêt à commenter ou vitupérer sur ce qui lui est directement proche, et pourtant si loin, puisque d'intéraction il n'y a pas. Ou si peu : visuelle, gestuelle. (Interne, en somme, à l'habitacle.)
Et là, l'autoroute japonaise marque le pas. Déjà qu'une voiture n'invite pas à saisir le monde extérieur, mais ici, le monde est réduit aux murs qui l'isolent. Point de paysage à observer, juste un couloir de bitume à suivre. Réduction proxémique encore. On regarde devant soi. On se tait. On peut, à la rigueur, imaginer s'envoler ailleurs. Mais il vaut mieux connaître la destination.
mercredi 12 septembre 2007
Ponts et merveilles
vendredi 7 septembre 2007
dimanche 2 septembre 2007
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