Saigon Night Fever ?
lundi 28 janvier 2008
dimanche 27 janvier 2008
jeudi 24 janvier 2008
Pied à terre
lundi 21 janvier 2008
mercredi 16 janvier 2008
Grillé
Se faire surprendre, toujours, quand on saisit l'appareil. On regarde ce que l'on peut bien voir, là-haut, dans ce ciel découpé. Quid ?
mardi 15 janvier 2008
dimanche 13 janvier 2008
Hostoritarisme
Cela nous a donc permis, Y. et moi-même, de lui rendre visite quotidiennement, pour la distraire, la nourrir, et, accessoirement, pour s'enquérir de son état. C'est qu'à Saigon, on bénéficie d'un système de santé public qui ne prend en charge que la posologie. Ni les repas, ni la lessive, ni, bien sûr, les conditions d'une convalescence dans le calme et la solitude qui sied si bien aux malades en phase terminale. Ah, la douce promiscuité de la maladie ! Les râles et les regards fuyants ! Les civières que l'on fait disparaître derrière d'étranges portes battantes !
Nous n'avons jamais croisé de docteurs lorsque nous étions à son chevet, mais je les soupçonne d'apparaître aux heures non visitables. Ou, peut-être, ont-ils décidé de ne travailler qu'à la mesure de leur salaire. C'est vrai que 800 000 dongs par mois (40 euros), ça vous fait tellement croire à votre serment d'Hippocrate, que vous n'en avez plus que pour les malades et leurs souffrances. Mais allez dire ça au Ministère de la Santé !
Nous n'avons jamais croisé de docteurs lorsque nous étions à son chevet, mais je les soupçonne d'apparaître aux heures non visitables. Ou, peut-être, ont-ils décidé de ne travailler qu'à la mesure de leur salaire. C'est vrai que 800 000 dongs par mois (40 euros), ça vous fait tellement croire à votre serment d'Hippocrate, que vous n'en avez plus que pour les malades et leurs souffrances. Mais allez dire ça au Ministère de la Santé !
mardi 8 janvier 2008
Bar'n'homme
vendredi 4 janvier 2008
Et que la fête !
mardi 1 janvier 2008
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