vendredi 30 mai 2008
jeudi 29 mai 2008
mardi 27 mai 2008
La salle a jouer #6
- Effectivement , jolie voûte plantaire mais je constate une certaine propagation de moissisures et de champignons...
- C’est excellent pour la conservation des vins !... et maintenant remontons pour finir par la pièce la plus remarquable de cette superbe demeure... Et voilà la salle à manger!
lundi 26 mai 2008
La salle a jouer #5
mardi 20 mai 2008
La salle à jouer #4
L'ARCHITECTE. - C'était l’horreur... Tous ces repas interminables où ce que l'on ne disait pas comptait davantage que ce que l'on disait.
LE PSYCHIATRE. - Expliquez-vous...

L'ARCHITECTE. - Je me souviens d'un soir j'étais venu à table sans avoir pris le temps de me laver les mains... alors mon père... (Il s'arrête brusquement.)
LE PSYCHIATRE. - Poursuivez...
LE PSYCHIATRE. - Expliquez-vous...
L'ARCHITECTE. - Je me souviens d'un soir j'étais venu à table sans avoir pris le temps de me laver les mains... alors mon père... (Il s'arrête brusquement.)
LE PSYCHIATRE. - Poursuivez...
La salle a jouer #3
EMILY. - Je ne sais que vous dire Bertha... Monsieur Quesnay est toujours au téléphone.
CLAIRE. - Qu'on serve au moins le potage ça fera venir papa.
EMILY. - Je ne sais pas... je ne sais que décider... Oh ! Attendons encore cinq minutes si vous voulez bien Bertha.
BERTHA. - Oui Madame.
EMILY – Alors ?
QUESNAY - Je dois m'absenter.
(Bertha surgit, portant la soupière.)
EMILY. - Comme cela ? Sans même avoir le temps de prendre une assiette du bon potage au céleri de Bertha ?
QUESNAY - Quelque chose est arrivé. Quelque chose de grave.
dimanche 18 mai 2008
jeudi 15 mai 2008
La salle à jouer #2

– Oui...
– On dirait que nous sommes attirées par cette pièce.
– J’ai remarqué .
– Bon... Tu es sûre que Maman ne veut pas emporter tout ça à Bordeaux ?
– elle n’a déjà pas assez de place là-bas . Elle nous demande de faire le partage en évitant de nous disputer
– Il va falloir faire des lots si je comprends bien ?
– Oui à moins que l'une de nous deux n'ait envie de quelque chose et que l'autre n'en veuille pas.
– Réglons ça tout de suite alors...
lundi 5 mai 2008
Feux de rampes
Voilà donc une passante, saisie au vol, dans un de ces grands marchés où s'égaie la foule bigarrée des maraîchers ; elle est presque hors cadre, furtive, comme déjà sortie de l'histoire qui tenterait d'en connaître plus sur elle, sur le lieu, sur ce palier, celui-la ou celui d'en dessous.
Mais on en reste là, toujours, dans cette fausse attente d'une image fixe, que l'on peut observer à loisir, et qui peut raconter beaucoup. Il suffit, peut-être, de se laisser guider...
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