Tiens, on s'octroie parfois dans les rues de Saigon une marche à pied, et on profite des rares trottoirs pour s'y dégourdir chevilles, ménisque et autre bassin, atrophiés qu'ils sont par toutes ces courses sur selle de bécane.
Et la, stupeur ! L'oeil n'a plus cette aisance à saisir la lente cadence, le pas, la mesure. Et, parfois, il tombe sur une vue impromptue.
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