Dans les ruelles du village, transis un peu et à l'affût d'une issue, les voilà qui grimpent sur un xich lo, et puis ces deux visages, un temps toisant, un temps baissant le regard, passent silencieusement dans les dernières lueurs d'un crépuscule décidément trop rapide. Ils disparaissent au coin, sur la gauche, pour remonter le courant, certainement. Ils ne m'ont pas vu, je crois. Mais je les ai saisis, et ils ne s'évanouiront pas.
Un oubli en moins.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire