De ces étals et de ces chariots posés ça et là au bord des rues, l'on ne pourrait établir la liste exhaustive. Cela ressemblerait tout au plus à ces affiches post-coloniales qui s'amusent à coups de pinceaux épinaux à faire l'inventaire des "petits métiers", depuis longtemps disparus.
Que nenni, et pour remonter les horloges, celui-là sait y faire...
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