C'est le mois de mai.
Celui qui, nonobstant le fait de faire ce qui pourrait nous plaire, est celui de toutes les averses annonciatrices de la mousson à venir.
Celui où, pour un matin d'azur, on s'interroge sur le grisâtre de l'après-midi .
Celui où, vaille que vaille, on prend ce qui nous reste des reliquats d'Elios.
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