lundi 30 mai 2011
Un marché bien tranquille
dimanche 15 mai 2011
Les pigments imaginatifs
dimanche 8 mai 2011
Pas d'échappatoire
S'en rend-on compte encore?
Oui, la ville bruit.
Elle vibre, elle glougloute, et surtout elle ronfle. Et de ce ronflement permanent, on ne peut que retenir les fréquences de ces flatulences motorisées, causées par ces échappements incessants de gaz plus ou moins opaques, transmis par ces tuyaux oblongs qui ne pipent rien d'autre qu'onomatopées mécaniques.
Pour preuve :
Oui, la ville bruit.
Elle vibre, elle glougloute, et surtout elle ronfle. Et de ce ronflement permanent, on ne peut que retenir les fréquences de ces flatulences motorisées, causées par ces échappements incessants de gaz plus ou moins opaques, transmis par ces tuyaux oblongs qui ne pipent rien d'autre qu'onomatopées mécaniques.
Pour preuve :
jeudi 5 mai 2011
Dongeons et démons
Rendre la ville découpable en unités indépendantes, avec pour chacun de quoi faire commerce, et se loger.
Tout cela - bien sûr - à moindre coût, et surtout uniformément, partout, le long des rues, des canaux, des allées. Une ville de commercants autochtones dociles et bien casés, faciles à taxer le cas échéant - et immobiles avec ça.
Le bonheur urbain.
Pourtant, quand on fait sécession, que l'on brise l'agencement décidé depuis des lustres, autant le faire illustre : monter, au-dessus du commun, s'affirmer finement et faire fi du status quo : Une tranche d'une autre vie est née.
Tout cela - bien sûr - à moindre coût, et surtout uniformément, partout, le long des rues, des canaux, des allées. Une ville de commercants autochtones dociles et bien casés, faciles à taxer le cas échéant - et immobiles avec ça.
Le bonheur urbain.
Pourtant, quand on fait sécession, que l'on brise l'agencement décidé depuis des lustres, autant le faire illustre : monter, au-dessus du commun, s'affirmer finement et faire fi du status quo : Une tranche d'une autre vie est née.
dimanche 1 mai 2011
Du noir et blanc, mais célestes
C'est le mois de mai.
Celui qui, nonobstant le fait de faire ce qui pourrait nous plaire, est celui de toutes les averses annonciatrices de la mousson à venir.
Celui où, pour un matin d'azur, on s'interroge sur le grisâtre de l'après-midi .
Celui où, vaille que vaille, on prend ce qui nous reste des reliquats d'Elios.
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