Il y a souvent dans ces usines de petits cubicules plein de gens qui débattent, stylo en main, montre au poignet, pour savoir qui aura le dernier mot : et ces chaises-là, elles sont assises ?
Et ces tabourets debout ?
Et ces dossiers croisés ?
Et toute la pièce bruisse de paroles emmêlées, tandis qu'au dehors on n’arrête jamais, jamais, la fabrique des choses.