Il y a, au détour d'une route vicinale dans les faubourgs de la ville, un chemin sinueux qui se perd dans les rizières. À suivre ce chemin, on finit par franchir un portail de bois, massif, aux portes vieilles et lourdes. De l'autre côté du seuil, un parc, un étang, et quelques constructions, toutes à la gloire de l'architecture traditionnelle du pays.
Le lieu a été construit par un mécène pour y accueillir et mettre à disposition du public une large collection de Áo Dài, que l'on peut découvrir au fil d'une promenade qui, d'un sentier à une maison de maître, à une galerie, vous plonge dans une atmosphère hors du temps.
Bienvenus, donc, au musée de l'Áo Dài !
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