dimanche 26 novembre 2006

Versailles, rive droite.

C'est à l'heure du couchant que nos trois compagnons se faufilent dans les mailles du réseau parisien. Ils filent vers Saint-Lazare, où les attendent l'omnibus pour une banlieue vraibourgeoise.
Ils s'assoupissent un peu au tac-tac du train, qui finit tout de même par grincer de tous ses fers à l'approche du terminus.
Puis, en déambulant vers la droite et puis tout droit, les voilà arrivés.

C'est une demeure chaleureuse sous les tamis de lumière. Il n'y a pas encore tous les convives, mais les vivats résonnent : on ne s'était point vus depuis si longtemps.

On s'embrasse.
On trinque.
On se souvient, et il faudra s'en souvenir !


Aucun commentaire: