On s'interroge jour après jour sur les vertus apaisantes des transports publics nippons. C'est que l'on s'y repose, peut-être mieux ou davantage que chez soi, entre deux veilles où l'on s'active, ou, du moins, où l'on doit faire, aller, venir, vivre de ses sens une partie du jour. C'est sur la route souterraine, encore, de Nagata, à l'est de la ville. Le matin, et il fait déjà si chaud. Matois, je me demande comment faire ce cliché. Baste !, et le voilà dans ma boîte. Cette femme à gauche ne semble pas voir la vie d'en face. Elle me fait un peu peur. Je suis touché.
1 commentaire:
J'ai trouvé un site de fou pour toi, comme quoi le voyage terrestre invite aussi au voyage virtuel approfondi.
www.ubu.com
Enregistrer un commentaire