vendredi 30 juillet 2010

La courtisane

C'est à la ferme, au bout du chemin.
On pénètre dans la cour qu'enserrent de vieux hangars, alors que devant, du haut de ces deux étages, se dresse le bâtiment des maîtres. La cour est silencieuse à cette heure de fin d'après-midi. Il n'y a personne, mais on peut deviner une présence : la Deuche est là, et on nous attend quelque part.

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