On ne saurait dire. Franchement, pourquoi, quand on se met à chercher dans les archives, on trouve toujours quelques vieilles épreuves qui viennent se coller à la rétine et qui ne vous quittent pas, quitte, même, à ne pas vous laisser le regard tranquille ? Alors, bon, on rejette un œil critique - mais pas trop - à ces images qui vous font de l'œil, juste pour les replier d'un geste arrondi, dans un de ces tiroirs virtuels que contiennent tous les disques durs.
Et puis, des fois, pas de bol, ça ne suffit pas. C'est le coup de la resucée, de la photo-qu'on-avait-pas-vu-qu'elle-était-pas-mal-finalement.
Et donc :
Et puis, des fois, pas de bol, ça ne suffit pas. C'est le coup de la resucée, de la photo-qu'on-avait-pas-vu-qu'elle-était-pas-mal-finalement.
Et donc :
Les enfants, oui, les enfants, tous en rang, qui écoutent en chœur les discours lénifiants de la maîtresse. Sauf lui, heureusement, dont le visage sera retenu par tous ceux qui passeront par ici.
Le bambou si long qu'il ne rentre pas dans le cadre, et ça tombe bien, parce que c'est de poussée et de croissance et de développement dont il s'agit ici, et des épaules meurtries par toutes ces marches à gravir à toutes heures pour édifier on ne sait quel établissement du côté de Sapa.

2 commentaires:
Content de te revoir en ligne !
Pourquoi ? N'y etais-je point ?
Promis, d'autres billets vont suivre, mais les jours de fin d'annee sont plein d'affaires a regler...
A tres bientot !
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