dimanche 8 octobre 2006

Otto von von !

On nous emmène comme ça, d'un coup de rame, à la porte de Versailles. Il y a là toute une population, groupes et queues, individus et quidams, tous mélangés dans un joyeux triomphe à la Voiture-que-l'on-l'aurait-peut-être. On entre, hagard, pris dans la tourmente : Il y a des Minis mimis dont le charme témoigne de l'assaut. Ou inversement. Et puis, de loin en loin, perdues dans ces foules ambulantes, des carrosseries qui brillent.
Bien entendu, on cause bagnole dans ces cas-là . Que de cylindres ! Peut être davantage de chevaux sous ces capots que dans les écuries d'Augias.
Du rêve. Pour cela.
Du rêve pour cela. Et qu'on ne s'avise pas de conduire de ces Voitures-là : à quoi bon encombrer des rues dejà si pleines, des autoroutes dejà exsangues ?


...
(Mmh, j'achèterais bien une Mini...)

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