Ce n'est qu'à mi-parcours que nous relevons un compteur un peu trop rapide à notre goût. Un reliquat de cette tradition qui veut que l'on ne paye jamais à sa juste valeur le trajet d'un aéroport à son domicile, et nous grommelons un inadmissible dans un soupir qui en dit tout autant.
Et puis vient le temps du retour sur terre. Au Vietnam, pendant notre courte absence, le litre de carburant a considérablement augmenté.
Oh, les moteurs grognent de plus belle, mais on soupçonne le monde de vouloir changer d'ère.
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