Celui-là, il est passé sur un des sentiers de Phu My Hung, ce sentier plein d'eau. En se croisant, nous avons échangé un sourire, et quelques mots aussi. Et lorsque les sons se sont enfuis dans le vent, chacun a repris sa route. La sienne, vers la prairie qui fait face aux nouveaux immeubles qui pullulent dans ce quartier. La mienne, vers la perplexité des flaques d'eau et de ce qu'on peut en faire.
Et puis, quand je me suis retourné, je l'ai vu jouer au bonhomme, les bras et les jambes comme des bâtons tracés sur l'arrière plan. Voilà.
1 commentaire:
on dirait de la danse :) un équilibriste fragile. J'essayais de prendre des photos un soir- ben .....houla....bravo : )
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