Rendre la ville découpable en unités indépendantes, avec pour chacun de quoi faire commerce, et se loger.
Tout cela - bien sûr - à moindre coût, et surtout uniformément, partout, le long des rues, des canaux, des allées. Une ville de commercants autochtones dociles et bien casés, faciles à taxer le cas échéant - et immobiles avec ça.
Le bonheur urbain.
Pourtant, quand on fait sécession, que l'on brise l'agencement décidé depuis des lustres, autant le faire illustre : monter, au-dessus du commun, s'affirmer finement et faire fi du status quo : Une tranche d'une autre vie est née.
Tout cela - bien sûr - à moindre coût, et surtout uniformément, partout, le long des rues, des canaux, des allées. Une ville de commercants autochtones dociles et bien casés, faciles à taxer le cas échéant - et immobiles avec ça.
Le bonheur urbain.
Pourtant, quand on fait sécession, que l'on brise l'agencement décidé depuis des lustres, autant le faire illustre : monter, au-dessus du commun, s'affirmer finement et faire fi du status quo : Une tranche d'une autre vie est née.
2 commentaires:
c'est toujours aussi surprenant et pourtant si vrai
Ceux-la, en bordure de l'arroyo, sont les plus caracteristiques... Il en reste heureusement bien d'autres, plus eparpilles dans la ville, surtout du cote de Cho Lon.
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