Franchir les grilles du Jardin des Plantes, c’est marcher dans les empreintes d’Adèle. Oui, la Blanc-Sec, l’égérie du dessinateur et scénariste Jacques Tardi à ses heures les plus primesautières. On se doit aussi de visiter les bâtiments du Musée d’Histoire Naturelle, de lever la tête plus d’une fois à l’affût d’un ptérodactyle qui cercle encore et toujours au-dessus des toits de la Galerie de l’Evolution.
Le Pithécanthrope, lui, est bel et bien au garde-à-vous et tout osseux, au deuxième étage de la Galerie de Paléontologie et d’Anatomie comparée. Une journée d’observation entre zoologie, minéralogie, botanique, avec tout de même quelques regards par-dessus l’épaule, pour être sûr que le professeur Espérandieu n’est pas dans les parages.
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