Les voici, à la nuit, qui taillent de leur noirceur des silhouettes rondes et hautes, sous les lueurs d’une lune pleine. En contre-bas, c’est un concert de batraciens, que vient interrompre de temps à autre le passage d’un vélomoteur. Quelques néons, autour d’une bicoque solitaire, viennent dissiper l’obscurité. Nous nous couchons en comptant les étoiles, un peu déconcertés par ce bivouac au bout d’une vallée dont nous ne connaissons pas le nom.
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