Du haut de la terrasse, on embrasse quelques arrondissements, où poussent les immeubles, de loin en loin. La végétation a encore de quoi, mais les grues s'insinuent, étage après étage, dans ces poches de forêt. Pham ngu lao, en contrebas, vit au rythme des routards débarqués, embarqués, au gré des bus qui vont et viennent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire