

Je crois que c'était un matin de mars 2000, alors que la température, toujours fraîche, rendait pénible ce climat moite et lourd que Macao connaît tout au long de l'année.

M. Ollivier m'avait prêté un appareil reflex afin que je puisse me faire l'oeil sur la ville sous la brume. Je me souviens d'une longue marche, à travers ces paysages désolés de chantiers inachevés. Je me souviens aussi que je portais un chapeau qui, à l'instar d'une bouilloire désormais célèbre, tenait la vedette sur quelques clichés.

Rétrospective seconde, donc, de cette errance macanaise dont les images me tiennent toujours à coeur.

PS : Tiens, on vient de me dire qu'on retournera à Hong Kong en septembre pour d'autres conciliabules en costume-cravate. De quoi charger un nouveau film, encore, et obturer de plus belle...


M. Ollivier m'avait prêté un appareil reflex afin que je puisse me faire l'oeil sur la ville sous la brume. Je me souviens d'une longue marche, à travers ces paysages désolés de chantiers inachevés. Je me souviens aussi que je portais un chapeau qui, à l'instar d'une bouilloire désormais célèbre, tenait la vedette sur quelques clichés.

Rétrospective seconde, donc, de cette errance macanaise dont les images me tiennent toujours à coeur.

PS : Tiens, on vient de me dire qu'on retournera à Hong Kong en septembre pour d'autres conciliabules en costume-cravate. De quoi charger un nouveau film, encore, et obturer de plus belle...

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