Quai de la gare, Nichinomiya kitaguchi, le soir, pour le dernier train.
J'ai encore de la pellicule, pour ainsi dire.

Je m'en prends alors aux quidams qui, comme moi, attendent en soupirant qu'on les amène ailleurs.

Photos volées, sûrement, mais portraits éloquents d'une faune nocturne qui s'en retourne, repue, chez elle y trouver un court sommeil, peut-être...
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