Un mont si large, barrage à nuages,
Empile nuées d’aquarelles cendrées.
Au sol le brun, le jade et l’ocre
Jouent de leurs couleurs savanes,
Bourrasques donc qui se pavanent,
Orage d’été, doté de cordes,
De draches froides et tourmentées.
Qui de ce rempart délavé,
Empile nuées d’aquarelles cendrées.
Au sol le brun, le jade et l’ocre
Jouent de leurs couleurs savanes,
Bourrasques donc qui se pavanent,
Orage d’été, doté de cordes,
De draches froides et tourmentées.
Qui de ce rempart délavé,
Arrose son aéropage.
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