
Le Saigon d’aujourd’hui change vite. Certes, ce n’est pas l’ogre chinois qui, plus au nord, avale sans discernement l’énergie fossile et celle des hommes, transformant son environnement urbain de manière radicale.

Nous sommes ici plus mesurés, et la ville garde ses vieux repères, ses vieux repaires et ne perd rien de ses charmes d’antan. Tout au plus poussent quelques gratte-ciels qui préfigurent du Saigon de demain.

Pour l’heure, les chantiers avancent au rythme tranquille de la journée vietnamienne, où l’on s’assoupit dés que la chaleur s’installe.

Malgré tout, je suis inquiet par la tournure que peut prendre les choses. La circulation n’est encore point trop engorgée, mais la nomenclatura veut ses voitures, car elle se définit toujours – et partout – par son ostentation.

Alors des embouteillages redoutables apparaissent ça et là, lorsqu’un apparatchik sort son gros 4x4 pour une balade d’agrément.

Bah !, restons optimistes : il y a tant d’hommes de raison !
Non ?

Nous sommes ici plus mesurés, et la ville garde ses vieux repères, ses vieux repaires et ne perd rien de ses charmes d’antan. Tout au plus poussent quelques gratte-ciels qui préfigurent du Saigon de demain.

Pour l’heure, les chantiers avancent au rythme tranquille de la journée vietnamienne, où l’on s’assoupit dés que la chaleur s’installe.

Malgré tout, je suis inquiet par la tournure que peut prendre les choses. La circulation n’est encore point trop engorgée, mais la nomenclatura veut ses voitures, car elle se définit toujours – et partout – par son ostentation.

Alors des embouteillages redoutables apparaissent ça et là, lorsqu’un apparatchik sort son gros 4x4 pour une balade d’agrément.

Bah !, restons optimistes : il y a tant d’hommes de raison !
Non ?
1 commentaire:
tous cela donne une très forte envie d'y revenir trainer, paresser, bouger et découvrir, découvrir
les morbihanais
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